1. |
While I Sing
04:56
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2. |
Jet Set
04:16
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Oh, I just say, why everyone isn't like me,
Guided by this gold way,
And die in magazine's first page,
Whitout be quiet.
Oh, what a beautiful life !
Oup ! Oup ! Oup ! Oup !
Oup ! Oup ! Oup ! Oup !
Oup ! Oup ! Oup ! Oup !
Oh
Oup ! Oup ! Oup ! Oup !
Oup ! Oup ! Oup ! Oup !
Oup ! Oup ! Oup ! Oup !
Ah
We just say, I come in upper-crust party
To not be forgotten,
And I give some trifles for aids,
Cancer and starving men.
Oh, what a generous man !
Oup ! Oup ! Oup ! Oup !
Oup ! Oup ! Oup ! Oup !
Oup ! Oup ! Oup ! Oup !
Oh
Oup ! Oup ! Oup ! Oup !
Oup ! Oup ! Oup ! Oup !
Oup ! Oup ! Oup ! Oup !
Ah
Oh I'm there !!!
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3. |
Accuser
05:20
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When I sing to this way
Life is just the life
We don’t want you live later
In the name of god
I don’t know when ! I don’t know where !
I don’t know why !
I just see the secret inside
Don’t choose the way of lies !
There isn’t prophet
We are our own master
Fighting and dying for freedom
And for that I am.
There aren’t red days
For a sacrifice
We come with respect to you
We are living for
And we hate being in
The dark about
Independence, Intelligence
Are the master words
We come into play
Against this fucking belief
With earth’s force, look the nature
And save this fucking world.
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4. |
It's Time
05:24
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I am so sorry to have a good cry
But you and me, it’s always the same ritual
You’re just coming and running through the night
To fall in with love
Oh
You put your arms around me to see when I cry
But manifestly I am not quite a child
Trust that our difference won’t be a risk
To fall in with love
Oh
You run away
You run away
No it’s time ...
I never believe that I could change a day,
You are for me the one that I must avoid
I just follow my own way of life
To fall in with love
Oh
Put down on me my child the shroud of the end
You are the man who’s carrying the flame
For the memory of those who are dead and
To fall in with love
Oh
You run away
You run away
No it’s time ...
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5. |
Moritori Te Salutant
04:30
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Si un jour on vient me dire qu’il y en a marre de se débattre
Dans les tourments d’une vie qui ne fait que nous abattre
Je répondrai sans détour que le courage n’est rien
Face à la fatalité qu’on nous impose au destin
Je n’ai pourtant pas peur de croire
Que personne ne m’impose mes choix ou mes espoirs
J’ai pourtant tellement de belles histoires
Pour que cette vie soit la mienne,
Cette vie est là bien la mienne !
MORITURI TE SALUTANT
Mais si devant l’existence de celui
Qui aurait donné aux hommes, la vie et le pouvoir
Je ne pourrai que saluer le doute qu’il nous impose
A nous, pauvres créatures, faites de rêves et de cauchemars
Je ne suis pourtant pas reconnaissante
Des malheurs que j’ai subit et qui m’ont rendue plus grande
Je n’ai pourtant pas peur de dire
Que la vie est un cadeau pourri que certains rendent pire
MORITURI TE SALUTANT
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6. |
Burning To Nowhere
04:40
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They came from mountains, few years ago
They wanted to be free so they left their home
Burning to nowhere the water was so cold
Nothing could save them
They came from mountains, few years ago
They wanted to be free so they left their home
Burning to nowhere the water was so cold
Nothing could save them
They are burning to nowhere
Frozen is their blood
What's the prize hope
Their boats were so fragile, and they didn't see the storm
Broken into pieces and forever appart
Swimming to nowhere the water was so cold
Nothing could save their souls
Their boats were so fragile, and they didn't see the storm
Broken into pieces and forever appart
Swimming to nowhere the water was so cold
Nothing could save their souls
They are burning to nowhere
Frozen is their blood
What's the prize hope
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7. |
La Forêt
04:57
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Petite je voyais les gens comme des arbres
Formant des forêts couvrant même les montagnes
Et derrière la montagne d’autres gens attendaient
Que la forêt humaine avance pour enfin s’amuser
Et un jour j’ai compris, qu’on ne s’entendrait jamais,
Aussi bien qu’une forêt
J’ai vu les étoiles et j’ai cru qu’elles étaient
Les esprits des gens qu’un jour on a aimé
Quand on dort elles se penchent sur nous
Pour nous donner le goût de vivre sa vie jusqu’au bout
Mais un jour j’ai compris que les étoiles ne parlent pas,
Elles se contentent d’être là
Pourquoi ne vois-tu pas ? N’as-tu pas eu d’enfance ?
N’as-tu jamais cru t’envoler juste en fixant le ciel ?
En ouvrant les bras, des ailes jusqu’au bout des doigts
Ce vent, toi tu n’le sens pas
Ferme tes yeux, imagines être heureux
Je m’envole au dessus des toits, en jetant à peine l’œil en bas
Je trace, en apesanteur, dans les nuages les lettres du mot « bonheur »
Mais toi, toi tu restes en bas, et tu me jettes, un sourire narquois,
C’est triste, si triste pour toi, qu’as tu fait des tes ailes pauvre de toi !!!
Si tu voyais la boue qui recouvre ton âme
Et les futilités qui viennent s’y coller comme :
« les prix ont baissé, c’est le moment d’acheter,
Putain le cours du pétrole à encore augmenter ! »
Si tu pouvais gommer, tes habitudes d’homme branché
Ne voudrais-tu pas être une forêt ?
J’ai cru aux princesses, aux mages et aux vassaux
Aux cheval blanc, au prince à l’assaut d’un château,
Aux fées qui soignent et qui nous jouent des tours
A l’esprit d’un dragon en haut de la plus haute tour
Et un jour j’ai compris que c’était bien à moi , de faire que ma vie soit comme ça
Pourquoi ne vois-tu pas ? N’as-tu pas eu d’enfance ?
N’as-tu jamais cru t’envoler juste en fixant le ciel ?
En ouvrant les bras, des ailes jusqu’au bout des doigts
Ce vent, toi tu n’le sens pas
Ferme tes yeux, imagines être heureux
Je m’envole au dessus des toits, en jetant à peine l’œil en bas
Je trace, en apesanteur, dans les nuages les lettres du mot « bonheur »
Mais toi, toi tu restes en bas, et tu me jettes, un sourire narquois,
C’est triste, si triste pour toi, qu’as tu fait des tes ailes pauvre de toi !!!
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Slide Box Strasbourg, France
Paméla : Chant
Alain : Violon
Grégory : Guitare
Richard : Basse
Philippe : Batterie
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